Profiter d’un kino sans faire de film. J’ai tenté et c’était très plaisant.
Merci à mes accolytes photographes. Et surtout merci à Kino Caen pour la confiance
Profiter d’un kino sans faire de film. J’ai tenté et c’était très plaisant.
Merci à mes accolytes photographes. Et surtout merci à Kino Caen pour la confiance
Merci à Christine et Olivier pour l’accueil
Fin de trilogie. Merci à Adrien pour la confiance et Merci à la sister Astrid pour le binôme.
Merci à l’Ensemble TM+ et à Justine Emard pour cette commande
Un studio, un groupe de Rock, tout simplement.
Je ne vais pas m’épancher sur le moyen de fabriquer un clip comme celui-ci. Juste…beaucoup de prépa en pré-prod > Un storyboard de plusieurs pages et un cerveau qui fume à la fin.
Merci encore une fois à François Galarneau pour l’assist.
Et Merci, grand merci au studio Wildbee pour leur accueil dans les conditions si particulières.
Voici le premier clip du nouveau projet de Viot. Le premier d’une série de 4 clips (3 que je réalise et un que je shoote pour la chère Astrid K)
Et pour couronner le tout, une belle mise en avant sur le site des Inrocks.
Merci à Astrid pour le Très Gros Coup de Main
Merci à Adrien pour la confiance !
Voilà, nous y sommes. La trilogie des clips pour l’artiste Martin Mey est bien finie.
On se retrouve en islande pour tourner le dernier clip. Je connais bien ce pays, je l’adore à la folie. Même si je suis complètement focus sur le tournage, j’en ai quand-même des frissons de me dire que la route que nous empruntons, c’est du presque par coeur, comme la route qui te mène à tes proches.
L’islande en février, c’est dingue. On est frigorifiés mais à la vue de ces paysages tout blanc, c’est un autre pays que nous découvrons. Bref, c’était juste parfait.
C’était une immense joie de pouvoir clipper les trois clips de ce magnifique album de Martin, je suis très content du résultat et du packaging que nous lui avons fait. J’ai hate de reprendre du service, avec Martin bien entendu, ou un autre artiste aussi talentueux. A suivre…
Director: Seb Houis
Prod executive: Thomas & Hugo
Prod: Transfuges // Internexterne
2019
Bercy, où plutôt l'Accor Hotel Arena, pour nous tout seul. Magique.
Merci à Arachnée, à YMA et au groupe pour cette opportunité.
Je n'ai pas tendance à partager mon travail en Institutionnel. La plupart du temps, ce sont des activités qui ne se démarquent pas forcément de mes autres collègues, et j'ai envie de surprendre, d'innover, même si ce n'est toujours pas le cas. Par contre, il m'arrive des fois d'atteindre cette infime frontière entre le travail de reportage et la création pure. C'est ce qu'il s'est passé avec l'entreprise PARELLA.
Il est très rare, encore plus maintenant, que les entreprises soient efficaces en terme de communication. J'utilise le terme "efficace" car la chaine de validation est tellement énorme, que tout le monde a son mot à dire. Les projets n'en finissent jamais. Et au lieu de laisser la main à la création, nous tombons sur des zones de conflit entre postes. Le projet de "création" devient l'atout pour se démarquer, et le créatif devient un bouc-émissaire facile. J'en ai à la pelle de ces exemples.
Avec beaucoup de chance je suis tombé sur des interlocuteurs qui m'ont fait entièrement confiance et m'ont laissé faire, à 100% (même si il n'a jamais de 100%, tant que le sentiment y est). Encore plus quand la demande de base ...est impossible.
En effet, le client voulait des plans en drone, ce qui est totalement interdit en ce moment sur Paris, à cause de l'état d'urgence entre autres. A ce moment là, n'importe quel créa est en capacité de proposer autre chose à son client. Les plans en drone deviennent des plans de time-lapses au sol. Moins impressionnant vous me direz ? je ne suis pas entièrement d'accord. La base de ce film est de faire une cartographie de la ville et des clients. Que ce soit à 0° ou à 90°, les choses se voient de la même façon.
Comment avoir pensé à ça comme solution de repli : Ce n'est pas le talent, non, c'est l'expérience. Je fais des time-lapses depuis toujours. J'ai visualisé ce projet à l'instant où le client m'en parlait. Et ça a fait toute la différence.
Tout ça pour dire qu'il faut tester, expérimenter, dépasser ce qui est acquis dans cette vie où tout est accessible, et toujours plus facile. J'ai commencé comme ça, à vouloir monter mes films pour une école où une association différemment. Je me suis perdu un peu en cours de route j'ai l'impression. Je me suis aussi adapté à des exigences de clients. Mais tout en tentant des choses, en allant plus loin. Et pas forcément en copiant les autres (je pense à cette vidéo du Maroc en hyperlapses, que tout le monde à pompé à tort et à travers. Pomper, ce n'est pas innover les gars)
Ne cessez jamais d'aller plus loin. Ne cessez jamais de créer.
Ça pourra vous servir un jour.
Encore MERCI à PARELLA pour leur confiance.
Il y a quelques mois, l'agence LA LUNE ROUSSE me proposait de faire une vidéo sur l'artiste Thomas Roussel aka PREQUELL.
Il m'arrive très souvent de me détacher de ce que j'appelle la création brut, pour aller dans des chemins de traverse tel que la captation et même le reportage. Ici, ce qui m'intéressait était l'approche "portrait". Me focaliser sur un sujet et tenter de comprendre une problématique, un univers.
Voici donc ce film, qui est pour moi un peu "hybride", et où à ma grande chance, il y avait très peu de limite, beaucoup plus de liberté.
Merci à LA LUNE ROUSSE et à Wavestone pour la confiance.
Merci à Thomas et Ivan son manager pour la confiance et hésitez pas à découvrir cet artiste !
Merci pour la confiance #Marsatac & #transfuges
Pour voir le film en entier, c'est ici